Abstract
Based on classic Buddhist practices that do not assume pathology, mindfulness facilitates a shift in clients’ relationship with suffering that mediates beneficial change. Neurological studies have demonstrated that this shift is both psychological and structural. In the 30 years since mindfulness first entered the lexicon of modern psychology, mindfulness-based interventions have emerged that depart from its historical, experiential roots. Such differ­ences have led to uncertainty and confusion about the efficacy and essence of mindfulness, and its conceptualization. Unresolved, this confusion has implications for professional training, research, and therapeutic practice.En se fondant sur la pratique bouddhiste classique, qui fait abstraction de la pathologie, la pleine conscience facilite la modification de la relation du client avec la souffrance, ce qui permet desusciter un changement bénéfique. Des études neurologiques ont permis de démontrer que cette modification est à la fois psychologique et structurelle. Depuis les 30 années d’existence de la notion de « pleine conscience » dans les lexiques de la psychologie moderne, on a vu naître des interventions fondées sur la pleine conscience qui sont de nature fort différente des racines historiques et expérientielles du concept d’origine. De telles différences ont engendré de l’incertitude et de la confusion quant à l’efficacité et à l’essence de la pleine conscience et à sa conceptualisation. Le fait que cette confusion ne soit pas dissipée a des répercussions sur la formation professionnelle, la recherche, et la pratique thérapeutique.
Date
2013-07-29Type
info:eu-repo/semantics/articleIdentifier
oai:ojs.cjc-rcc.ucalgary.ca:article/2670http://cjc-rcc.ucalgary.ca/cjc/index.php/rcc/article/view/2670