Abstract
La poésie lyrique d’Andrew Marvell a suscité quelques discussions bien connues de la poétique protestante, puritaine et contre-réformatrice. Toutefois la religion joue un autre rôle, presqu’entièrement inexploré, dans sa poésie.On a remarqué jusqu’à quel point ses œuvres en prose des années 1670, dans lesquelles il exprime ses opinions sur la tolérance religieuse, la liberté civile et l’absolutisme, incorporent des vers et des expressions remaniés de sa poésie, parmi d’autres références poétiques. Cet article considère la poésie de Marvell, autant en soi qu’en son remaniement, comme le chantier où a été forgée la largeur d’esprit manifestée dans sa prose.Date
2001-01-01Type
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