Abstract
Comme ses travaux précédents l’ont démontré, Marcela Iacub affiche une rare maîtrise dans l’art de restituer avec humour et minutie les sinuosités de la raison juridique ― dans un souci « positiviste » de « dire la vérité sur ce que fait effectivement le droit » au-delà des habits idéologiques dont on couvre sa réalité pratique (2002, a, p. 13). 1 Et comme le savent bien ses lecteurs, elle met cet art au service d’une pensée « néo-libertine » soucieuse de ...Date
2009-05-01Type
ArticleIdentifier
oai:doaj.org/article:9d1a3fffeb3c4c218ce5d73e022257741777-5477
https://doaj.org/article/9d1a3fffeb3c4c218ce5d73e02225774