Author(s)
Neils, JeniferKeywords
mythologie antiquedivinités grecques antiques
religion grecque antique
système votif
HIS002010
History
Religion
HBLA
Full record
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http://books.openedition.org/pulg/608Abstract
The earliest mention of a textile dedication to a female deity is the robe presented to Athena by the Trojan queen Hekabe in Book VI of the Iliad, and perhaps the most enduring historical ritual of a textile offering was the peplos dedicated to Athena at the Panathenaic festival of ancient Athens. However, textual evidence indicates that textiles of various kinds were offered to an array of gods and goddesses, and ostensibly for many different reasons. This paper investigates the various contexts and types of textile offerings, and considers their function as dedications. While the textiles themselves rarely survive, several scenes in Greek art document this important mode of votive offering. The second part of this paper looks specifically at the Panathenaic peplos and the current debate regarding the establishment of its ritual presentation. If the Praxiergidai decree documents a newly instituted ritual of the 460s, then the peplos’ prominent position on the east frieze of the Parthenon might serve to legitimate a new rite adopted by the Athenians in imitation of those devoted to other deities.La plus ancienne mention d’une offrande de textile faite à une divinité féminine se trouve au livre VI de l’Iliade : il s’agit de la robe présentée à Athéna par la reine Hécube de Troie. La dédicace d’un peplos à Athéna lors du festival des Panathénées dans l’ancienne Athènes est peut-être l’attestation historique la plus persistante du rituel de l’offrande d’un textile. Les témoignages textuels indiquent toutefois que des textiles de toutes sortes étaient offerts à différents dieux et déesses, et manifestement pour des raisons très variées. Cet article examine tout d’abord les divers contextes et les types d’offrandes de textiles, et considère leur fonction en tant qu’offrandes. Alors que les textiles eux-mêmes ont rarement été conservés, de nombreuses scènes de l’art grec offrent une documentation importante sur ce type d’offrande votive. La seconde partie de cet article s’attachera plus spécifiquement au peplos des Panathénées et au débat sur l’établissement de sa présentation rituelle. Si le décret des Praxiergides nous renseigne sur un nouveau rituel institué dans les années 460, alors la position dominante du peplos sur la frise Est du Parthénon pourrait servir à légitimer l’adoption par les Athéniens d’un nouveau rite sur le modèle de ceux qui ont été pratiqués pour d’autres divinités.
Date
2013-05-16Type
info:eu-repo/semantics/bookPartIdentifier
oai:books.openedition.org:pulg/608urn:doi:10.4000/books.pulg.608
http://books.openedition.org/pulg/608
urn:eisbn:9782821829114
urn:isbn:9782960071764