Charte Ethique du Voyageur [Code of Ethics for Travelers]

Abstract

"Cet engagement non respecté provoqua l’implosion du groupe et d’interminables débats.Soucieux de l’impact du tourisme, ATALANTE comprit l’impérieuse nécessité d’expliquer, plus que d’interdire, afin d’ouvrir l’esprit à la différence et au respect. Au retour, trois voyageuses suggérèrent à Christophe Leservoisier (cofondateur d’Atalante), de rédiger un code de bonne conduite entre une agence et ses voyageurs. Ainsi est née, en 1996, la Charte Éthique du Voyageur, qui défend l’idée que par la seule compréhension de ceux que nous rencontrons, nous pouvons contribuer, personnellement, à la sauvegarde des peuples et de la nature. En 1997, partageant le principe qu’« il n’y a pas de mauvais touristes, mais des voyageurs mal informés », l’éditeur de guide de voyage Lonely Planet, s’associa à Atalante pour une diffusion plus large de ces recommandations, qui souhaitent aider les voyageurs à magnifier son voyage. [Concerned about the impact of tourism , ATALANTE understood the urgent need to explain more than prohibit, to open the mind to the difference and respect. In return, the three travelers suggested to Christophe Leservoisier (co-founder of Atalanta ), to draft a code of conduct between an agency and its passengers. Thus was born, in 1996, the Charter of Ethics Voyageur, which argues that only by the understanding of those we meet, we can contribute personally to the safeguarding of people and nature. In 1999, sharing the principle that "there are no bad tourists, but uninformed travelers," " the Lonely Planet travel guide editor, joined with Atalanta for wider dissemination of these recommendations, who wish to help travelers magnify his journey."]