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http://mje.mcgill.ca/article/view/8128Abstract
This paper is a response to the writing of women preservice elementary teachers who were asked by the author to complete journal entries examining their own experience of language development and writing. The stories that emerged in the journals were alarming in terms of the consistency and clarity with which they reported on their disability with language, their disempowerment, and the history of events which led to these conditions. This paper provides an overview of their stories interwoven with discussion of current understandings about the development of language, thinking, and writing. It closes with some questions about the politics of literacy, whether writing is particularly a "women's problem", and the implications of the likelihood that many women teachers may be women "who don't write". RÉSUMÉ Cet article porte sur la langue écrite de professeurs femines du primaire en stage de formation à qui l'auteur a demandé de décrire leur propre expérience en matière d'acquisition du langage et de rédaction. Le constat qui en ressort est alarmant sous l'angle de l'uniformité et de la clarté avec laquelle ces femmes font état de leur incompetence langagière, de leur paralysiè et des circonstances qui ont abouti à cet état de fait. Cet article donne une vue d'ensemble de leur histoire entremêlée d'une analyse des connaissances actuelles sur l'acquisition du langage, de la pensée et de l'écriture. L'article se termine par certaines questions sur la politique d'alphabétisme, et l'auteur se demande si l'écriture est un problème féminin et si au nombre des répercussions de ce phénomène, les femmes enseignantes sont peut-être des femmes qui ne savent pas écrire.Date
1993-09-01Type
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