Pour une société « suffisamment bonne » : reconnaître une pluralité de contributions et de parcours
Keywords
stigmatisationreconnaissance
intégration
inclusion sociale
stigmatisation
recognition
integration
social inclusion
Full record
Show full item recordOnline Access
http://ethiquepublique.revues.org/2451Abstract
À partir des résultats d’une recherche qualitative et participative ayant impliqué des personnes qui vivent avec un problème de santé mentale, des intervenants et des gestionnaires de milieux de pratique en santé mentale et visant à explorer les représentations d’une intégration sociale jugée réussie, cet article propose une analyse et une réflexion sur les conditions de possibilité d’une société suffisamment bonne et inclusive pour les personnes vivant avec un problème de santé mentale. L’élargissement du prisme de la reconnaissance sociale s’est dégagé comme une condition essentielle à cet égard qui, elle-même, implique certaines conditions, avec en particulier un travail de reconnaissance de la différence en tant que telle et la mise à distance d’une logique d’utilité.This article discusses some conditions of a good enough and inclusive society for people with mental illness. The discussion is based on results of a qualitative research pursued in Quebec in which different actors of mental health services were involved. We met 81 consumers, 33 practitioners and 17 directors from 19 mental health centers and compared their perspectives about the characteristics of a significant social integration for people with mental health illness. From these research results, the necessity to enlarge the prism of social recognition appears as an essential condition of a good enough society for people with mental illness.
Date
2016-05-07Type
info:eu-repo/semantics/articleIdentifier
oai:revues.org:ethiquepublique/2451urn:doi:10.4000/ethiquepublique.2451
http://ethiquepublique.revues.org/2451