Online Access
http://ethiquepublique.revues.org/2047Abstract
Dans ce texte, l’auteure dresse un portrait de la position de D’abord solidaires, collectif de lutte contre la montée d’idées de droite, en ce qui concerne la question du bien commun. Françoise David dénonce l’idée du bien commun que peuvent se faire nos élites politiques en démontrant les dangers qui guettent les sociétés qui négligent de prendre en considération les conséquences à long terme des actions de celles-là. Pour D’abord solidaires, le bien commun en appelle plutôt à l’idée d’une communauté des êtres humains, à une vision qui nous entraîne à rechercher l’intérêt général, un partage de la richesse, des savoirs, des beautés de la nature, une reconnaissance de notre interdépendance et, donc, de notre besoin de solidarité.In this article, the author presents the position of D’abord solidaires, a collective opposing the rise of right wing ideas, on the issue of the common good. Françoise David denounces the idea of the common good often held by the political elites and shows us the dangers threatening societies which fail to take into consideration the long-term consequences of their actions. For D’abord solidaire, the common good relates above all to the idea of a community of human beings; a vision that leads us to seek the general interest; a sharing of wealth, knowledge and the beauties of nature; a recognition of our interdependence and, therefore, our need for solidarity.
Date
2015-12-29Type
info:eu-repo/semantics/articleIdentifier
oai:revues.org:ethiquepublique/2047urn:doi:10.4000/ethiquepublique.2047
http://ethiquepublique.revues.org/2047