‘Clinics aren’t meant for men’: Sexual health care access and seeking behaviours among men in Gauteng province, South Africa
Abstract
Men may be key players in the transmission of sexually transmitted infections (STI), and it is important that STI/HIV health services reach men. The objective of this study was to explore sexual health care access and seeking behaviours in men. This study used focus groups to examine sexual health care access and seeking behaviours in men 5 years after implementation of free antiretroviral therapy (ART) in the South African public sector. Six focus groups (N=58) were conducted with men ≥18 years in an urban area of Gauteng province. Men were recruited from various locations throughout the community. Men reported several barriers and facilitators to the use of public and private clinics for sexual health services including HIV testing, and many men reported seeking care from traditional healers. Men often viewed public clinics as a place for women and reported experiences with some female nurses who were rude or judgmental of the men. Additionally, some men reported that they sought sexual health care services at public clinics; however, they were not given physical examinations by health care providers to diagnose their STI syndrome. Most men lacked knowledge about ART and avoided HIV testing because of fear of death or being abandoned by their families or friends. Study findings suggest that men still require better access to high-quality, non-judgmental sexual health care services. Future research is needed to determine the most effective method to increase men’s access to sexual health care services.Keywords: sexual health care access, men.Les hommes peuvent être des responsables dans la transmission des infections sexuellement transmissibles (IST), et il est important que les services de santé des IST/VIH les sensibilisent (les hommes). Les objectifs de cette étude étaient d’examiner l’accès aux soins de santé et les comportements sexuels des hommes pendant 5 ans après la mise en oeuvre de la thérapie antirétrovirale (ART) gratuite dans le secteur public Sud-Africain. Six groups d’hommes âgés ≥18 ans (N=58) ont menés des discussions dans la zone urbaine de la province de Gauteng. Ces hommes sont recrutés dans divers endroits dans toute la communauté. Ils ont déclarés rencontrés des obstacles et facilitateurs à l’accès des cliniques publiques et privées des services de santé sexuelle, y compris le test du VIH, et beaucoup d’hommes déclarent être à la recherche de soins vers des guérisseurs traditionnels. Les hommes ont souvent vu les cliniques publiques comme des endroits pour les femmes et se sont souvent plaint des expériences qu’ils ont eues par rapport aux infirmières qui ont un mauvais jugement sur eux. Certains d’entre eux ont déclaré qu’ils cherchaient des soins de santé dans les cliniques publiques, mais qu’ils n’étaient pas soumis à des examens physiques pour diagnostiquer leurs syndrome d’IST. La plupart d’entre eux n’avaient pas de connaissances de l’ART et évitent le test du VIH parce qu’ils ont peur de la mort ou d’être abandonné par leurs familles ou leurs amis. Cette étude suggère que les hommes doivent exiger de meilleures qualités de soins, un non-jugement des services de santé sexuelle. Les recherches futures sont nécessaires pour déterminer la méthode la plus efficace d’accroitre l’accès des hommes aux services de santé sexuelle.Date
2011-06-28Type
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