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Cet article propose une évaluation éthique des institutions qui organisent la transplantation avec donneurs décédés, au travers du rôle qu’elles accordent à la famille survivante. Son objectif est double. Il s’agit, premièrement, de montrer que la famille possède un pouvoir de décision considérable en matière de prélèvement posthume bien que les législations soient habituellement décrites comme fondées sur le consentement ou l’opposition des personnes concernées. Deuxièmement, il s’agit de montrer que les politiques qui octroient un tel pouvoir aux familles manquent à un devoir d’équité, en négligeant les intérêts à la fois des personnes concernées et des malades en attente de greffe.Date
2010Type
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