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http://books.openedition.org/psorbonne/155Abstract
Philosopher, pour Spinoza, ce n’est pas apprendre à mourir, mais à vivre pour l’éternité. Le champion de l’éternité semble ainsi n’accorder aucune place centrale à une réflexion sur la mort, à la critique des craintes qu’elle inspire et aux remèdes pour les dissiper, contrairement à ce que faisait Épicure, par exemple, dans la Lettre à Ménécée. Tout se passe donc comme si le fait de mourir n’avait pas d’importance aux yeux de l’homme libre qui balaie la crainte vaine du haut de son éternité. ...Date
2014-12-18Type
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oai:books.openedition.org:psorbonne/155urn:doi:10.4000/books.psorbonne.155
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urn:eisbn:9782859448066
urn:isbn:9782859445379