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http://books.openedition.org/psorbonne/220Abstract
Vu la méfiance générale des positivistes envers la métaphysique, la philosophie positive italienne ne consacre à Spinoza ni une attention systématique, ni des contributions philologiques et historiographiques - et ceci à une époque d’épanouissement des études et des éditions. Néanmoins, les élèves d’Ardigò en particulier étudient Spinoza. Soir par rapport à l’épistémologie (conception de la causalité et relations entre hasard et nécessité), soit par rapport à la théorie de la connaissance et à la psychologie. Les limites des études positivistes sur Spinoza en Italie sont les limites du positivisme philosophique italien tout court, qui refuse la métaphysique d’une part, sans avoir et sans se doter d’instruments pour proposer une étude sérieuse de la pensée scientifique et de son histoire, er, d’autre part, sans cultiver aucun intérêt pour la philologie et l’historiographie (qui reste évolutionniste). En suivant cette voie, on retourne très vite au Benedictus-Maledictus de la tradition.Date
2014-12-18Type
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oai:books.openedition.org:psorbonne/220urn:doi:10.4000/books.psorbonne.220
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urn:isbn:9782859445331